

Dès le 2 juin 2025, un modèle populaire de radiateur sera retiré du marché français, suite à des constatations alarmantes de surconsommation énergétique.
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Cet arrêt de vente s’inscrit dans une démarche plus large de réduction de l’empreinte écologique des appareils domestiques.
Un radiateur trop gourmand en énergie
Des chiffres qui parlent
Les études récentes montrent que le modèle concerné consomme en moyenne 30% plus d’énergie que les normes admises pour les appareils de sa catégorie. Un écart qui a poussé les autorités à réagir pour limiter l’impact écologique.
Le ministère de la Transition écologique précise : « Ce modèle n’est plus acceptable dans le cadre de nos objectifs de réduction des émissions de CO2. »
Un choix difficile mais nécessaire
La décision de retirer ce produit du marché n’a pas été prise à la légère, compte tenu de sa popularité. Toutefois, l’urgence climatique et les objectifs de développement durable dictent de nouvelles normes plus strictes en matière de consommation énergétique.
Le témoignage de Martin Durand, utilisateur quotidien
Martin Durand, résident de Strasbourg, a acheté ce modèle de radiateur il y a trois ans. Il témoigne de son expérience :
« Je ne savais pas que ce radiateur consommait tant. Je pensais faire des économies, mais ma facture d’électricité a grimpé en flèche. C’est une bonne chose qu’il soit retiré, cela évitera à d’autres de faire la même erreur. »
Martin, comme beaucoup d’autres, s’est retrouvé piégé par un appareil énergivore, malgré une efficacité de chauffage apparemment satisfaisante.
Quelles alternatives pour les consommateurs ?
- Les radiateurs à basse consommation
- Les systèmes de chauffage central plus efficaces
- Les pompes à chaleur, qui représentent une solution durable
Les experts recommandent de vérifier les étiquettes énergétiques des appareils, un guide utile pour comprendre leur consommation réelle.
Impact économique et environnemental de la décision
Le retrait de ce modèle pourrait encourager les fabricants à innover davantage dans des solutions plus vertes. L’impact sur le marché est double : stimuler la compétition pour l’efficacité et réduire les coûts énergétiques pour les utilisateurs finaux.
Des mesures d’accompagnement pour les utilisateurs actuels
Le gouvernement envisage des subventions pour ceux qui voudraient remplacer leur ancien modèle par une solution plus écologique. Cette mesure vise à faciliter la transition et à minimiser l’impact financier pour les ménages.
À long terme, cette interdiction pourrait servir de précédent pour d’autres produits consommant excessivement de l’énergie. Les conséquences pour les fabricants sont significatives, mais nécessaires pour s’aligner sur les objectifs climatiques mondiaux.

