RE.MAR.QUA.BLE
Je suis vraiment gâtée par cette rentrée d’hiver. Voici le nouveau roman de Nathalie Azoulai, auteure que j’apprécie beaucoup depuis l’indéboulonnable (dans mon panthéon) Titus n’aimait pas Bérénice.
Ce nouveau texte est remarquable tant par l’écriture que par son sujet et sa construction. Je me suis laissée emporter par cette lecture et j’ai beaucoup réfléchi après avoir refermé la dernière page.
Ça parle de deux adolescentes devenues femmes, de compétition, de maths, de littérature, de « pour la vie », de rupture et de retrouvailles, de féminisme, de plafond de verre, de supériorité (ou pas), de place des femmes et des hommes dans la société, de recherche fondamentale (ou pas), d’apprentissage, de Cambridge, d’Amérique, d’hommes, de maternité, de cheveux longs et blonds, de bacs A et C, de nombres premiers, de romans à succès, de clan familial, d’un père, de mères, de passé et de présent, de carrière, de construction, de libération, de la vie, d’un suicide.
Ce sera sûrement mon livre de l’année.
Une invitation est lancée pour une rencontre avec Nathalie Azoulai pendant le Presque Festival de Place Ronde du 12 au 23 avril prochain.
Vous souhaitez vous procurer cet ouvrage dans votre librairie Place Ronde, réservez-le ici https://www.placeronde.fr/boutique/litterature-generale/5434-la-fille-parfaite-9782818054765.html